A l’issue des travaux de la 22 e session extraordinaire du Conseil d’administration du Fafpa, présidée par le ministre de l’Emploi et la Formation professionnelle, un nouveau bureau a été installé le vendredi, 12 janvier 2018 dans la salle de réunion du Fafpa. Ousmane Traoré, représentant de l’UNTM, est le nouveau PCA du Fafpa pour un mandat de 3 ans
Selon le ministre Maouloud Ben Kattra depuis les années 80, avec le Programme d’ajustement structurel, la question de l’emploi est demeurée au cœur des préoccupations des plus hautes autorités de notre pays.
Avec l’avènement, en 2013, de son excellence Ibrahim Boubacar Keita, président de la République et chef d’Etat, une impulsion nouvelle a été donnée à la prise en charge de cette problématique.
Cette dynamique est manifeste par la volonté politique affirmée et affichée de porter le taux de croissance économique à 2 chiffres et de créer du coup 2 00.000 emplois nouveaux à l’horizon 2018.
Dans cette perspective, il est aussi encourageant de signaler que, suivant les dernières statistiques, le taux de création d’emploi a été ressorti à 39% pour la période 2013-2015.
« Dans un instant, vous allez mettre en place un nouveau bureau qui, j’en suis convaincu, va s’investir davantage pour accompagner la direction générale du FAFPA dans la réalisation des missions qui lui sont assignées ».
Le nouveau président de conseil d’administration, Ousmane Traoré a adressé ses vifs remerciements à l’ensemble des membres du conseil pour la confiance placée en sa modeste personne pour assurer la présidence dudit conseil du fonds durent ce mandat de trois ans.
Par la même occasion, il a félicité les membres du bureau du conseil d’administration élus à cet effet pour donner des orientations pertinentes au directeur général du FAFPA.
« Je puis assurer l’ensemble des membres du conseil ainsi que le directeur général du FAFAPA de ma disponibilité totale et constante et à ne ménager aucun effort pour accompagner le FAFPA à réussir sa mission dans un climat serein et confiant.
Amadou Sala Touré LA LETTRE DU MALI