Un mari jaloux se livre à une confiscation du téléphone de sa femme. Comme, souvent, les appareils dorment à la charge, ce qu’il fait, il choisit un jour et ce jour il prend le téléphone de sa femme en plus du sien téléphone pour aller au travail. Le téléphone n’a pas de mot de passe, ainsi il peut facilement accéder aux messages et aux appels antérieurs. Il a constaté que son épouse communique beaucoup avec un numéro.
Pris de jalousie, il envoie un message au numéro pour invité à prendre un verre dans un lieu calme à l’abri des regards à la descente. Le numéro, qui n’est autre que celui du patron de la femme, lui répond, j’ai un travail à finir mais je vais me forcer à être au rendez-vous. Le Chef se fait le devoir d’honorer le rendez-vous mais la dame était absente et deux heures après, il envoie un message cette fois-ci le téléphone était avec la dame. Il dit : «Mais je suis en place depuis deux heures », la femme surprise répond : « pardon ». Le Monsieur se fâche et n’envoie plus de message. Le lendemain, la dame se présente au service, le Chef l’invite dans son Bureau et lui fait des reproches. Surprise, elle nie les faits mais le Chef a pris soin de garder le message qu’il lui a montré. La femme se confesse, en disant que c’est mon mari qui est jaloux pour le manifester il confisque mon téléphone. Donc, ce message est de lui. Et, depuis ce jour, la bonne dame est harcelée par son Chef qui n’hésite pas à la dire de choisir entre son emploi et le refus d’une partie à deux. « Que fait faire ? », comment l’a si bien chanté l’Ivoirien Daouda Sentimental.
Le fouineur