mardi 10 décembre 2024
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PRESIDENCE DU CNJ : Diawara Fatoumata Diawara bien partie

Elle est belle, intelligente et sociable. « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ». Cette maxime sied bien à Mme Diawara Fatoumata Diouara qui a tous les atouts pour diriger le Conseil national des jeunes. Son parcours dans la vie associative depuis des nombreuses années doit normalement inciter les associations féminines à l’accompagner afin qu’elle soit la première dame élue présidente au sein de cette association de jeunes.
Depuis son jeune âge, la jeune écolière mène une intense vie associative. Ce qui l’a amené à militer dans des associations et club de lycée notamment le club de l’OUA, de l’Unesco, de l’Association pour le renouveau.
Les membres fondateurs de Soli jeunes sont tous des jeunes dynamiques et mobilisés pour la cause commune qui est d’œuvrer pour le bien-être des enfants et de la jeunesse à travers l’éducation et la santé. L’objectif de l’association est d’encourager les initiatives de solidarité dans la société, de venir en aide aux personnes démunies principalement les femmes et les enfants, de promouvoir le mouvement associatif, la cohésion sociale et toutes les autres activités visant à renforcer le développement de la jeunesse.
Leur dernière activité date seulement d’un mois. Elle a consisté à l’appui des enfants défavorisés et une conférence débats. Plusieurs activités sont d’ailleurs à l’actif de Soli jeunes. Cette association est mobilisée aujourd’hui derrière la candidature de leur présidente pour plusieurs raisons, la dame a une connaissance du CNJ pour avoir occupé des postes au sein de la boite et présentée contre l’actuel président Mohamed Salia Touré, lors des assises à Kayes.
Fatoumata Diouara était montée sur le créneau pour dénoncer la fraude qui avait prévalu à cette élection. La fraude avait consisté à donner une somme de 150 000 FCFA aux délégués venus d’ailleurs.
Confiante, la candidate doit pouvoir compter sur les associations féminines et son expérience pour défendre les intérêts de la jeunesse malienne en perte de vitesse. Il faut d’ailleurs l’admettre, le CNJ est devenu une affaire de quelques individus qui le gèrent comme une entreprise personnelle.
Il est temps qu’une prise de conscience se fasse pour le bonheur d’une jeunesse unifiée.
Sorofing Traoré LA SIRENE

Djibril Coulibaly

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