Palais de Koulouba : Une ministre dépravée

L’on croyait tous que le palais de Koulouba était un lieu propice où sont prises les grandes décisions du pays, via le conseil de ministre. Non, ce n’est pas que cela pour tous les ministres exceptionnellement cette ministre de la République qui doit revoir ses cours de mœurs ou de bonne conduite.
En effet, tandis que ces collègues ministres sont préoccupés par leurs projets qu’ils vont défendre, notre mademoiselle pardon madame est obnubilée par autre chose : elle veut attirer l’admiration de quelques-uns de ses collègues. Comment une femme mariée peut se comporter de la sorte ?
Nous ne sommes pas des donneurs de leçon, mais il est indécent qu’une femme mariée se fasse prendre en plein milieu par un autre homme. Où est la morale ou la bonne conduite lorsqu’une ministre de la République de surcroit une femme mariée se fait caresser les bras par un autre homme ?
D’aucuns diront que c’est sa vie privée, mais notre rôle est d’alerter afin de stopper ces pratiques avant qu’elles ne franchissent le seuil de la salle du conseil des ministres au grand dam du président de la République. On allait alors dire : « La Sirène » n’a pas joué sa mission d’alerte.
Abdourahmane DOUCOURE

L’Ambassadrice de France au Mali, devant la Presse : « La France n’a, à ce stade, aucun permis d’exploitation sur le Nord du Mali »
C’était en marge de la conférence de presse organisée par l’UJDM (Union des Journalistes pour la Promotion de la Diplomatie au Mali), le samedi 27 Mai 2017 à la Maison de la Presse, ayant comme invitée, Mme Evelyne Decorps, Ambassadrice de France au Mali. Et comme thème de débat: « Les relations franco-maliennes: historique, acquis et perspectives.»
Au cours d’une rencontre avec la presse qui fut la première du genre, et dont fut l’invitée, Madame Evelyne Decorps, l’Ambassadrice de France au Mali, les échanges ont porté essentiellement sur les relations franco-maliennes, notamment, leurs historique, acquis et perspectives. La diplomate française dira, lors desdits échanges, que les relations franco-maliennes remontent jusqu’à la fin du 19è siècle. Elles ont ainsi connu des hauts et bas, des fois, des incompréhensions, mais vivent d’intenses moments au jour d’aujourd’hui. De l’accession du Mali à la souveraineté nationale et internationale jusqu’à l’avènement de la démocratie multipartite, la France a toujours été avec le Mali. Selon Mme Decorps, c’est au prix de ce même partenariat diplomatique, que la France s’est évertuée à mobiliser d’énormes ressources financières pour accompagner le Mali ainsi que d’importants moyens militaires afin de voler au secours du Mali, depuis l’amorce de la crise socio-politique et sécuritaire, d’où les opérations Serval et Barkhane. D’un point de vue politique, la France est intervenue sur différents fronts de règlement de conflits inter-maliens, notamment, à Ouaga et Alger. Aussi, la visite du Président Macron en est un éloquent témoignage de cette bonne santé des rapports diplomatiques entre le Mali et la France. Par contre, l’Ambassadrice dira, de manière formelle et intransigeante, que contrairement aux spéculations qui font souvent entendre que la France est déjà en train d’exploiter le sous-sol du septentrion malien, aucune opération d’exploitation n’a encore commencé et la France, n’a, à ce stade, aucun permis d’exploitation sur le Nord du Mali.
Signalons que l’UDJM est une association regroupant une trentaine d’organes, toute presse confondue, créée le 23 Août 2011, et dont les objectifs consistent entre autres, à mieux faire connaître les différents partenaires intervenant dans notre pays et leur rapport dans le développement économique et social ; vulgariser les acquis de la coopération entre le Mali et ses partenaires par le biais d’une communication efficiente, et dynamiser cette coopération à travers la création d’espaces d’échanges féconds sur des sujets d’intérêt mutuel.
Dilika Diallo LA SIRENE