lundi 7 octobre 2024
Accueil | Oeil du combattant | Le goudron deux fois deux voies traverse les quartiers de Torokorobougou et Kalabancoro pour ensuite tourner vers Tiébani laissant place à un autre petit goudron tellement exigu qui continue jusqu’à la cité universitaire de Kabala. Justement, c’est au niveau de ce tronçon Kalabancoro-Tiébani-Kabala que les « camions BEN » font rage en matière d’accidents graves voire de plus en plus mortels. Les causes de ces nombreux accidents sont multiples et variées. Sur à peu près 20 kilomètres, le goudron est non seulement sinueux, mais encombré de hangars, d’étalagistes et d’autres vendeurs ambulants, de piétons et de motocyclistes traversant dans tous sens du goudron sur lequel peinent circuler les gros porteurs. Aussi, en cet endroit précis, on est en face d’une décente qui ne permet pas aux camions BEN de maîtriser la vitesse et le système de freinage face aux nombreux obstacles qui se dessinent malencontreusement en face d’eux. Il faut ajouter à cela la grande vitesse avec laquelle tous les véhicules filent pour éviter le retard. Voilà la raison pour laquelle il devient impérieusement nécessaire d’agrandir ce goudron en cassant les bordures de certaines maisons et faisant déguerpir tous les kiosques en vue de diminuer drastiquement les accidents sur cette voie. Une voie qui est, de surcroît, empruntée journellement par la majorité des étudiants pour rejoindre la cité universitaire de Kabala. Le fouineur

Le goudron deux fois deux voies traverse les quartiers de Torokorobougou et Kalabancoro pour ensuite tourner vers Tiébani laissant place à un autre petit goudron tellement exigu qui continue jusqu’à la cité universitaire de Kabala. Justement, c’est au niveau de ce tronçon Kalabancoro-Tiébani-Kabala que les « camions BEN » font rage en matière d’accidents graves voire de plus en plus mortels. Les causes de ces nombreux accidents sont multiples et variées. Sur à peu près 20 kilomètres, le goudron est non seulement sinueux, mais encombré de hangars, d’étalagistes et d’autres vendeurs ambulants, de piétons et de motocyclistes traversant dans tous sens du goudron sur lequel peinent circuler les gros porteurs. Aussi, en cet endroit précis, on est en face d’une décente qui ne permet pas aux camions BEN de maîtriser la vitesse et le système de freinage face aux nombreux obstacles qui se dessinent malencontreusement en face d’eux. Il faut ajouter à cela la grande vitesse avec laquelle tous les véhicules filent pour éviter le retard. Voilà la raison pour laquelle il devient impérieusement nécessaire d’agrandir ce goudron en cassant les bordures de certaines maisons et faisant déguerpir tous les kiosques en vue de diminuer drastiquement les accidents sur cette voie. Une voie qui est, de surcroît, empruntée journellement par la majorité des étudiants pour rejoindre la cité universitaire de Kabala. Le fouineur

Le goudron deux fois deux voies traverse les quartiers de Torokorobougou et Kalabancoro pour ensuite tourner vers Tiébani laissant place à un autre petit goudron tellement exigu qui continue jusqu’à la cité  universitaire de Kabala.

Justement, c’est au niveau de ce tronçon Kalabancoro-Tiébani-Kabala  que les « camions BEN » font rage en matière  d’accidents graves voire de plus en plus mortels. Les causes de ces nombreux accidents sont multiples et variées. Sur à peu près 20 kilomètres, le goudron est non seulement sinueux, mais encombré de hangars, d’étalagistes et d’autres vendeurs ambulants, de piétons et de motocyclistes traversant dans tous sens du goudron sur lequel peinent circuler les gros porteurs. Aussi, en cet endroit précis, on est en face d’une décente qui ne permet pas aux camions BEN de maîtriser la vitesse et le système de freinage face aux nombreux obstacles qui se dessinent malencontreusement en face d’eux. Il faut ajouter à cela la grande vitesse avec laquelle tous les véhicules filent pour éviter le retard. Voilà la raison pour laquelle il devient impérieusement nécessaire d’agrandir ce goudron en cassant les bordures de certaines maisons et faisant déguerpir tous les kiosques en vue de diminuer drastiquement les accidents sur cette voie. Une voie qui est, de surcroît, empruntée journellement  par la majorité des étudiants pour rejoindre la cité universitaire de Kabala.

Le fouineur

Rédaction

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