Moussa Bolly, tu es mon grand frère, celui qui explique avant même de s’offenser, de se vexer. Mais, aussi celui qui dénonce pour protéger les valeurs humaines. Et là encore aucun appel à la moindre révolte, tout est écrit simplement avec un grand professionnalisme qui ne cherche ni à plaire ni à déplaire : seule la vérité est ton combat de tous les jours !
Et il faut être courageux pour ne jamais dévier de ce chemin de l’honnêteté lorsque tout autour de nous s’effondre. Certes un grand journaliste, mais avant tout un grand homme et c’est ce dernier qui a toute ma considération. Le métier ne fait pas l’homme, c’est l’homme façonne son métier à son image.
Je voudrais également remercier un autre grand homme, un grand sage qui, comme toi, ne connait point la susceptibilité et grâce à cette faculté il arrive toujours à retourner une situation complexe, à trouver du positif dans le négatif pour le mettre en avant : Fousseyni Camara ! Mon grand frère philosophe, celui qui a permis notre rencontre. Pour sa patience, sa grande sagesse, sa générosité et surtout le fait qu’il ne m’ait point jugée, il mérite toute mon estime.
Pour toi et pour lui, je continuerai à défendre un pays qui n’est pas le mien, mais qui est dans mon cœur : Le Mali !
Beaucoup de gratitude pour tous ceux qui œuvrent pour un Mali meilleur. Beaucoup ne me connaissent pas ou si peu car je ne m’exprime que très rarement : que dire quand tout est déjà dit si ce n’est donner un avis favorable afin de vous encourager ? Bien sûr, il y a Djimé Kanté, impossible de le louper tellement il est présent sur les réseaux sociaux. Et preuve qu’il ne m’est pas inconnu car c’est le seul nom que je ne déforme pas (tu sais comme il m’est difficile de retenir vos noms, mémoire effacée mais jamais je n’oublie la personne qui est derrière).
Un grand bravo pour son humanisme envers les plus fragiles. Tous ces enfants qui, faute de moyens, sont condamnés. Ces petits anges qui sont les premières victimes d’un pays malade. Mais aussi un grand orateur toujours présent pour empêcher le Mali de sombrer, toujours là pour nous encourager à poursuivre ce combat contre l’injustice et tout cela avec un humour décalé bien propre à lui et qui fait tout son charme. Alors pour toutes ces qualités rares, il est aussi mon chéri !
Et que dire de Tétou Gologo si ce n’est que c’est une femme extraordinaire, tant par son génie que sa créativité. Franche, sincère, drôle, tendre, amer parfois dure mais toujours en accord avec elle-même. Et cette facilité qu’elle a pour transmettre par écrit toutes ses émotions ne peut que me fasciner.
Son énergie est contagieuse car tout est dit avec justesse et bon sens. Comme vous, elle ne se nourrit pas de la colère, de la rancune mais d’une nourriture spirituelle avec un esprit brillant, un esprit vif, un esprit piquant…
Sans oublier Abdoul Karim Dramé, Boua Cissé (le talentueux infographe) et tous ceux que je ne peux citer mais que je lis avec beaucoup d’attention, tous ceux qui ont le courage de dire ce qu’ils pensent sans arrière-pensées, tous ceux qui défendent la liberté d’expression, tous ceux qui par un geste, un sourire, un savoir, un art quelconque partagent leurs espoirs, leurs bonheurs, leurs craintes, leurs coups de gueule aussi. Mais tout cela dans le respect de l’autre et pour le bien de l’humanité.
A toute l’équipe du journal Le Reflet qui travaille sans relâche pour nous donner le meilleur : Mille mercis pour tous les efforts et les sacrifices que vous faites afin de nous offrir encore un numéro de plus.
Sonia
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