Il fallait vraiment le voir pour le croire. Il y a de cela quelques semaines, quand j’ai été mis au courant par un ami, qu’il connaît une personne qui peut soigner l’adénome de la prostate sans intervention chirurgicale. Je me suis dit qu’il dormait debout. Autrement dit, qu’il délirait grave. Mais ce dont j’ai été témoins moi-même, m’a permis de vite comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un bluff.
En effet, quelques jours après cette discussion avec mon ami, il m’a proposé de l’accompagner à Kati car son ami en question devait passer l’action sur un vieux qui souffrait de cette maladie et qui réside à Kati Kôkô. Étant donné que j’étais hyper curieux de savoir de quoi il s’agissait, nous sommes partis ensemble.
Il fallait sincèrement le voir pour le croire. En effet, quand le guérisseur traditionnel a fait boire une potion au vieux et lui a appliqué une pommade au niveau du bas ventre. Au bout de 3 heures, il s’est rendu de lui-même à la toilette et a pu uriner sans sonde. Il était surpris et stupéfait. La joie qui illuminait sur le visage du papa, m’a permis de me rendre compte qu’il souffrait énormément. Je n’en revenais pas, mais les faits étaient là.
Au bout de 3 jours, nous sommes repartis voir le vieux qui avait d’ores et déjà fait une échographie qui a belle et bien confirmé qu’il n’avait absolument plus rien. C’est donc joie qu’il s’est rapidement acquitté du montant convenu pour le traitement.
Au dire du guérisseur, après son traitement, il est bien possible de pouvoir enfanter. Hors, cela n’est pas le cas après une intervention chirurgicale. Il a également confirmé qu’il a d’ores et déjà fait la prise en charge de plusieurs patients avec succès.
NB: Avant de soigner n’importe quel patient, le guérisseur exige une échographie. Aussi, après le traitement, le patient fera également une autre échographie qui doit confirmer qu’il n’a plus de prostate avant qu’il ne passe à la caisse.
Si vous avez des parents souffrant de cette vilaine maladie, contactez les numéros suivants : 00223 64 64 63 13 /00223 69 65 32 35.
Drissa KANTAO LE CONFIDENT