Karissa (allusion au président Ibrahim Boubacar Kéita que certains surnomment aussi Boua, c’est-à-dire père), doit se mordre les doigts dodus et manucurés ou se manger la barbe, vu qu’il en a une désormais, d’avoir écouté certains, d’avoir signé sans lire, d’avoir promis sans consulter, d’avoir engagé le pays sans savoir dans quoi.
Karissa junior, doit se demander comment donc préserver cette vie, non méritée qui lui fait côtoyer les « stars », rêve absolu de tout enfant gâté baignant dans les priorités inversées. Karissa junior bis, on n’en parle pas trop. Mais, son surnom dans certains milieux est « le facilitateur »…Tordez vos esprits, vous comprendrez !
Karissae (la Première Dame), elle doit être en train de voir comment sauvegarder un maximum, pour ses petiots en vraie maman poule ayant oublié sa charge et ses devoirs, envers tous les enfants de la nation. Allez, faites circuler des enveloppes, peut-être que des miettes atterriront chez nous, en échange de notre travail honnête ! Je suis trop déçue par ces gens, trop… Mais quelle mentalité ?
Sachez en tout cas que mon ancêtre m’a dit, fais très attention, à toi quand tu marches car tu sais tu vis dans les règles du Far West : « écrasage » intempestif, balle perdue…
Tu sais quand on est aigri, la réflexion part, et les réflexes sont bizarres !
KKS