A peine son anniversaire terminé, Orange-Mali renoue avec ses vieilles habitudes et c’est le service Premium qui fait parler de lui, mais de la plus mauvaise des manières.
Si vous êtes utilisateur de « Premium » d’Orange-Mali, tachez ne pas avoir des problèmes avec vos chargeurs pour ne pas avoir des mêmes ennuis que M. D. Cet étranger n’arrive toujours pas à comprendre qu’une si grande entreprise comme Orange-Mali puisse faire de la publicité mensongère son crédo.
Tenez, notre victime du jour a eu la malchance d’acheter un « Premium » il y a sept mois. Ainsi, sur l’emballage de l’appareil, il est mentionné une garantie de deux ans, ce qui signifierait qu’en cas de problème, la société est tenue de changer l’appareil de l’utilisateur s’il est dans le délai.
Ce qui n’a pas été le cas, car lorsque la victime s’est présenté à Orange pour la première fois afin d’expliquer le problème auquel il est confronté, il s’est avéré que c’est un problème de chargeur. Aussitôt on lui a fait savoir qu’il doit payer, car la garantie serait de six mois au lieu de deux ans.
Ainsi M. D. n’avait donc qu’un seul choix, celui d’acheter un nouveau chargeur. Malgré la bonne foi des travailleurs du service réclamation à vouloir satisfaire le client, le client est resté insatisfait après un long calvaire. D’abord, sans imaginer que le modèle de chargeur ne peut pas être trouvé dans une agence principale, ce fut alors un rang qui durera plus d’une heure de temps. Lorsque le tour fut arrivé à lui, il fut surpris d’apprendre que ce chargeur n’existe pas au sein de l’agence principale. Raison invoquée : ce sont des nouveaux modèles de « Premium » qui sont là, donc les chargeurs sont différents. Alors comment les gens qui disposent l’ancien modèle mais qui ont leur chargeur gâté vont faire ? Je ne sais vraiment pas, répond un agent avant de dire qu’il nous conseille d’aller voir une autre agence située en face de l’immeuble Tomota. Là-bas, même scénario, le chargeur n’existe pas, mais c’est un autre modèle qu’on ne peut pas brancher sur l’ancien qui existe.
L’homme est donc reparti sans son chargeur et sans sa boite changée, le cœur meurtri et avec une mauvaise image de la société Orange.
Le lendemain, le calvaire continue car il fallait impérativement trouver un chargeur après 24 heures passées. Toutes les agences sont sillonnées à la recherche du chargeur, mais en vain. De la rive gauche à la rive droite, aucun chargeur. Il fut donc obligé de retourner à l’agence principale encore. Là, ce service avec satisfaction a pu trouver la solution en trouvant un autre chargeur afin de dépanner le sieur.
Il est temps pour Orange-Mali de donner plus de satisfaction à sa clientèle qui est d’ailleurs reine dans toutes structures sérieuses et qui se soucient du bien-être de sa clientèle. Et Orange-Mali en tant qu’une société multinationale ne devrait pas déroger à la règle.
A.D LA SIRENE