L’intéressé se trouve en France depuis deux semaines pour des soins.
Mais son état de santé s’est amélioré puisqu’il est sorti de l’hôpital hier selon ses proches. Sa mise en liberté intervient alors qu’il vient de perdre le scrutin présidentiel et aussi alors que pouvoir et opposition ont commencé à se rencontrer lundi pour discuter d’un éventuel dialogue.
La Cour d’appel a choisi la fin du processus électoral pour libérer Hama Amadou. L’opposant n’inquiète visiblement plus les juges, alors qu’en janvier, ils estimaient qu’il y avait un risque de trouble à l’ordre public s’il était libéré.
Pour les proches d’Hama Amadou et ses avocats, c’est un soulagement, même si certains ne comprennent pas pourquoi cette décision intervient si tard.
RFI