Il y a maintenant 20 jours ; c’est-à-dire, depuis le début du mois de décembre, la ville de Bamako a épousé un nouveau visage. Évidemment, le mois de décembre et surtout vers la fin d’année (vers la deuxième quinzaine de ce mois), la température est habituellement caractérisée par la montée des brouillards cachant un froid exorbitant, mais très adoucissant pour la santé des personnes âgées. Ne dit-on même pas que les nuits de Noël et du Réveillon sont l’apanage d’un grand froid qui s’abat sur la nature pour magnifier la naissance et le baptême du Christ. Mais, cette année, en plus de ce grand froid, il faudra noter la présence permanente du vent avec de la poussière et de la fraicheur qui handicapent les activités habituelles des citadins de Bamako. Qui peut dire que ce n’est pas là le signe avant-coureur du changement climatique? Une seule et unique solution s’offre à tous. La plantation massive des arbres en plus de l’usage des énergies renouvelables tout en diminuant l’utilisation des énergies faucilles avant que les effets des accords COP de Paris ne commencent à nous être profitable.
Le fouineur