Depuis quelques quatre ans déjà, les populations de cette partie nord du Mali, à majorité touarègues, sont soumises à une condition de vie très misérable : Pas de scolarisation, maladie, famine, pénurie d’eau ! Une véritable malédiction et cette fois-ci ça ne vient pas du ciel.
Les responsables de cette situation sont en réalité les acteurs de la rébellion qui, désormais croupissent derrière un accord de paix, ont peu de regards sur les populations. Les politiques maliens le savent bien, mais il nous revient que l’argent qui devait être investi pour le bien de ces populations, est utilisé pour entretenir les responsables de l’ex-rébellion.
Aux dernières nouvelles, une barrique d’eau coutait 22. 500 FCFA à Kidal Ville
Djibril Samaké LA SIRENE | lecombat.fr