Les épreuves des examens du Diplôme d’études fondamentales (DEF) ont débuté hier, lundi 4 juin, comme prévu sur l’ensemble du territoire national. Malgré le contexte d’insécurité au Centre et au Nord du pays, tous les examens sont en train de se tenir à la date prévue. Cela est au bénéfice du Département de l’Éducation Nationale, des élèves eux-mêmes et surtout des parents d’élèves.
Il faut signaler que le DEF est un examen charnière dans notre pays ; car, il permet aux heureux candidats d’accéder aux études secondaires après un cycle fondamental de 9 ans. Cette année, ils sont au nombre de 250715 candidats contre 258102 candidats en 2016-2017.
À Sourakabougou 1, en Commune I du District de Bamako, ils sont au nombre de 198 candidats pour 8 salles avec 25 ou 24 élèves par salle.
Quant aux surveillants, ils sont au nombre de 16 dans ce centre situé à Banconi Sourakabougou.
Selon le Président Abdoulaye B. Diakité et le Vice-président Sory Ibrahim Théra tout se déroule dans les règles de l’art. Seulement, on a dénombré 7 cas d’absences au niveau des candidats et un surveillant également dont le remplaçant a aussitôt assuré la suppléance.
Selon les Responsables du Centre d’examens, il n’y a pas de risque de fraudes ni de fuite de sujets. Du moins, pour le moment. Mieux à l’extérieur comme à l’intérieur du centre, tout est serein ; car il n’y a pas d’attroupement ni de regroupement tout au tour du centre et des salles d’examens.
Abdoulaye Faman Coulibaly : LE COMBAT