Les syndicats de l’éducation, signataire du 15 octobre 2016, ont tenu leur assemblée générale sur l’ensemble du territoire pour les points évoqués dans une déclaration rendue publique. Cependant, une alerte est donnée au gouvernement qui par conséquent peut conduire à une nouvelle crise si rien n’est fait.
Il en est sorti de l’Assemblée générale d’informations des syndicats de l’éducation nationale, signataires du 15 octobre 2016, le 17 mars dernier, une mise en garde au gouvernement par les militants de la suite des dispositions à prendre face aux sujets des questions préoccupantes des Enseignants du Mali. Sur ce, les droits des enseignants maliens sont majoritairement menacés. C’est ainsi que les syndicats ont tenu une conférence de presse le 2 mars dernier et qui a été l’occasion de tenir cette assemblée générale d’information. Lors de cette assemblée générale, toutes les préoccupations ont été rappelées. Selon des sources fiables, toutes les déclarations ont été notées afin de rafraichir les mémoires. Ces déclarations ont, depuis un moment, été officialisées auprès de l’État pour des écoles apaisées et réussites. Faut-il rappeler que les points sont entre autres : l’exécution des points d’accord du procès-verbal du mai 2019, la récurrente question de retards des actes administratifs, l’arrêta d’intégration des enseignants contractuels dans la fonction publique des collectivités, la problématique récurrente du retard des salaires, l’avancement de 2019 et l’avancement de 2020 (alignement et paiement des rappels), la situation d’avancement des CT14 et CT16, l’atelier de réflexion. Cependant, pour ne pas menacer, pardon éviter une nouvelle crise scolaire au Mali, les syndicats de l’Éducation nationale, signataires du 15 octobre a, selon ses informations, demandé au gouvernement de réfléchir automatiquement à la valorisation de la grille des Enseignants lors de l’élaboration de la nouvelle grille du statut général à la suite de l’accord conclut avec un syndicat de la place »
Lassana Sow, Stagiaire LE COMBAT