Moins de deux ans, le scanner de l’Hôpital de Point G de Bamako est en panne. Les malades sont obligés, s’ils en ont besoin, d’aller faire les prestations dans les cliniques privées. N’est-il pas le comble ?
La désolation et l’indignation des patients font la chronique dans les coins et les recoins de la capitale et environnants. Pour faire une radiographie associant rayons X et traitement informatique, permettant d’avoir l’image des organes en coupe à l’intérieur du corps, il faut s’attendre à des prix trop élevés dans les cliniques, parce que le plus grand Hôpital du pays, le Point G, ne peut pas satisfaire les Maliens faute de scanner.
L’État est appelé à moins qu’il ne soit comtable à prendre ses responsabilités pour fournir des matériaux adéquats afin de garantir la santé des populations.
Le Fouineur