Son nom est Robin Guiovanopoulos, enseignant au Lycée français Liberté A à Bamako. Pour avoir donné en devoir un sujet sur l’Azawad qu’il cite Gao comme capitale, cet enseignant est révoqué depuis quelques semaines.
Après enquête, l’Ambassade de France a jugé nécessaire de présenter des excuses au Peuple malien. Pas que çà seulement, le professeur a été rapatrié dans son pays, la France, où il devait être interrogé sur ses réelles motivations. Et il a été décidé qu’il quitte son poste à Bamako, d’abord pour sa propre sécurité et surtout pour éviter une crise diplomatique entre les deux Etats.
Curieusement, quelques jours après que l’enseignant ait quitté Bamako, le gouvernement malien fait sortir un communiqué annonçant donner un délai de 72H à ce dernier de quitter le territoire national. Une telle sortie a l’avantage de calmer l’opinion nationale qui avait mal apprécié le silence «abasourdissant» des autorités maliennes sur une question aussi délicate que l’Azawad.
LE PHARE
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