En 2018, les Maliens seront aux urnes qui pour renouveler leur confiance à l’actuel locataire du Palais de Koulouba et qui pour, sans nul doute, solliciter une nouvelle tête à la tête de notre pays comme ce fut le cas récemment en France. Un jeune dynamique, compétent, intègre, sans reproche dans la gestion des affaires publiques du pays. Des critères d’un portrait robot devant réunir les candidats potentiels aux potentielles de 2018. Des critères auxquels répond largement le Professeur Clément Dembélé, de plus en plus actif auprès des populations de la base. Un Jeune loup aux dents longues sur qui objectivement compter lors du scrutin présidentiel de 2018.
La Présidentielle de 2018 au Mali va vibrer aux couleurs et au rythme des échéances électorales. Il y aura plusieurs dignes fils maliens qui y seront candidats. Parmi ceux-ci, il y aura, probablement, le Pr. Clément Dembélé. Selon certains analystes, pour les élections présidentielles de 2018, il y aura sans doute des surprises très agréables pour le Peuple malien.
Tout naturellement, ces échéances constitueront pour l’actuel Président de la République, l’occasion de briser un « second mandat ». Et elles serviront aussi d’occasion pour d’autres vaillants fils de ce pays de s’essayer dans l’expérience de devenir Président de la République. Pour le premier ; c’est-à-dire, le candidat IBK, tout est possible pour qu’un second mandat soit possible à l’issue des échéances électorales de 2018.
Parmi les autres (leaders de partis politiques ou indépendants, tous confondus ; habitués ou nouveaux), il y aura le Professeur Clément Dembélé. En tout cas, selon certaines indiscrétions, il est un potentiel candidat. Il est même possible qu’il soit un « Macron du Mali», capable de ravir la vedette à plusieurs candidats qui seront sur la liste. Une évidence qui ne se nie pas de nos jours sur la scène politique. Celle relative à la hâte pour les Maliens de vouloir « des nouvelles têtes sur la scène politique ». Car, force est de reconnaitre que depuis l’avènement de l’ère démocratique dans les années 1990 ce sont les mêmes têtes qui animent l’arène politique nationale. Donc, le Mali a besoin aujourd’hui du sang neuf dans sa vie politique. Car, dit-on souvent, on ne peut pas faire du neuf avec du vieux. Il est indéniable de constater qu’il n’y a pas de différence entre les opposants actuels et ceux qui sont aux affaires. Ce sont les mêmes animateurs de la scène politique nationale. Donc, indéniablement, tous doivent avoir atteint, à l’heure qu’il est, leurs limites. Les Maliens ne font pratiquement plus confiance qu’à des nouvelles compétences. C’est une question d’idées pour convaincre l’électorat malien. Les Maliens veulent du concret et non plus de théories et d’habituelles promesses.
Donc, avec Clément Dembélé, ce Professeur d’Université qui enseigne au Mali, en Europe et en Amérique c’est une véritable chance qui tend à sourire à notre pays et que tout le monde doit saisir pendant qu’il est temps.
Abdoulaye Faman Coulibaly : LE COMBAT