L’éducation scolaire a été, depuis des années, une préoccupation pour l’État, malgré le contexte qui risquerait ce secteur. Pourtant, le niveau des élèves diminue d’année en année. Un manque de dynamisme des Enseignants ou la non-implication des parents d’élèves ?
Le gouvernement malien joue un rôle prépondérant pour le bon fonctionnement de nos établissements scolaires, à travers sa politique et son attachement. Cela a toujours été certain, puisque l’impact est d’avoir une éducation de qualité, réussie, apaisée et équilibrée. Cet aspect permet, de façon permanente, une alphabétisation durable sur le plan national et international. Car, l’alphabétisation par définition, consiste à savoir lire, écrire et compter. Toute chose qui accompagne l’action de l’Observatoire pour le développement durable (ODD) dans ses missions.
À titre de rappel, malgré cette situation exceptionnelle qui est la pandémie à Coronavirus, des politiques de nos plus hautes autorités n’ont jamais manqué de tous les côtés. Malgré cela, le niveau des élèves maliens reste le vrai sujet. Un manque de dynamisme des enseignants ou la non-implication des parents d’élèves ?
De l’éducation préscolaire à l’enseignement supérieur, le constat est là. Les résultats des devoirs, des compositions, des trimestres, des examens sont déplorables. Tout serait basé sur les fraudes, les compte- rendus et autres. Nul n’aurait besoin de bien suivre les cours ou d’apprendre ses leçons. Chaque année, le niveau diminue de moins en moins. À l’échelle internationale, notre pays serait loin à l’instar des autres, quand il s’agit de l’alphabétisation. Des systèmes de l’équilibre seraient éloignés, car le contexte est très complexe de part et d’autre.
Lassana Sow LE COMBAT
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