J’ai juste un petit mot. Merci d’abord pour votre présence à cet exercice auquel vous êtes un peu habitués. Moi j’ai pensé qu’à la fin de l’année, en principe à la fin de la semaine prochaine, tout le monde va vaguer aux évènements de la fête de nouvelle année, je me suis donc dit, puisque vous êtes là, je vais vous souhaiter bonne heureuse année 2020 en espérant que l’exercice va continuer également en 2020. Dernièrement, j’étais à Montréal et j’ai eu à rencontrer une partie de la diaspora malienne qui me dit qu’elle suit les points de presse par internet. J’étais surpris quand ils m’ont dit cela.
C’est pour vous dire que vous ne le faites pas que pour le Mali. Pensez qu’il y a d’autres personnes à l’extérieur qui vous écoutent et qui vous suivent. Je suis de ceux qui également vous suivent. Je lis tous les journaux du matin avant de commencer mon travail de la journée. Vous faites un beau travail et je vous encourage à le continuer. Nous sommes dans une phase qui n’est pas facile et qui demande beaucoup de sang froid pour la diriger. En tout cas, nous sommes des partenaires et j’espère que ce partenariat continuera à se renforcer.
Comme vous vous êtes habitués à la maison, chaque fois que vous apprenez quelque chose, autant venir à la source, l’écouter, avoir l’explication nécessaire au lieu de spéculer comme beaucoup d’autres qui ne viennent pas comme vous ici mais qui souvent exploitent certaines informations qui sont erronées, qui ne sont pas vraies. Aujourd’hui avec les médias en ligne tout se dit et se redit et vous avez un rôle extrêmement important. Accompagner un pays qui sort d’évènements tragiques comme le pays a connu, demande beaucoup de responsabilités. Je ne peux que vous encourage à persévérer. C’était vraiment le seul mot que j’ai tenu à dire et vous souhaitez bonne et heureuse année 2020. Merci beaucoup.
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