Les maux, pardon, les insultes jetées à la figure des journalistes venus soutenir leurs confrères, par le 1ER substitut du procureur de la Commune IV, a dépassé l’entendement de plus d’un. Les confrères, encore moins, le public, n’a pas compris à présent pourquoi M. Sidibé était aussi agité lorsqu’il a vu au prétoire, des journalistes qui n’ont eu pour seul tort que de critiquer la gestion peu orthodoxe d’une structure, jadis un fleuron mais à terre à cause d’une gestion catastrophique : la pharmacie populaire du Mali. Facile à vérifier…
A la place du Droit, ce sont les mots comme ‘’Traîtres, pauvres types, indignes, énergumènes etc., qui sont sortis de la bouche du substitut du procureur de la commune IV. La presse n’a pas accordé de crédit à ce qu’il a dit pour plusieurs raisons. La première, elle (la presse) sait que tout homme de droit qui ayant le niveau requis pour savoir réellement le droit, a du respect pour la presse qu’on qualifie d’ailleurs de 4 è pouvoir. Ensuite, elle a compris que tous les jours ne sont pas dimanche et que notre très cher estimé substitut n’était pas dans un état normal ou il n’a pas compris les sages conseils de Hampatè Ba qui disait que « la parole est comme une bombe, il faut savoir l’utiliser, sinon elle vous saute à la bouche, et c’est la catastrophe’’.
Il était seulement demandé à notre hôte du jour de dire le droit, seulement le droit. Mais hélas, il semble avoir une dent contre une presse qui ne demande pourtant pas beaucoup.
M. Sidibé a-t-il un problème particulier avec la presse ? A-t-il été paniqué lorsqu’il a vu cette salle pleine de journalistes qui sont venus au chevet de leurs confrères ou tout simplement le richissime Dr Sanogo, ex Pdg de la Pharmacie Populaire du Mali est encore passé par là ?
La réponse nous édifiera…. Sinon à dire vrai, vous vous êtes trompé de cible M Sidibé, car les problèmes du Mali, ce ne sont pas les journalistes, M le substitut Sidibé
LA SIRENE
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