Rendre le Mali à son peuple par la paix, tel est l’engagement du candidat Aliou Diallo de l’ADP/Maliba dont le lancement des activités a eu lieu le samedi 7 juillet 2018 au Champ hippique de Bamako en présence des cadres et militants du parti venants des différentes régions et de Bamako et naturellement la famille chérifienne de Nioro représentée par Cherif Ahmed Sidi, le représentant spécial de Boué.
Après le chant de l’hymne national et l’acclamation du candidat par le parterre de monde l’honorable Mamadou Doumbia, député élu en Commune IV du district de Bamako a souhaité la bienvenue à toutes et à tous tout en affirmant la gratitude du parti face à cette sortie massive du peuple malien pour le soutien de Aliou Diallo.
L’honorable Amadou Thiam, président du parti député élu de la Commune V et M. Cissé président de la Plateforme « Ensemble pour le Renouveau du Mali », ont rendu hommage aux victimes civiles et militaires de la crise malienne avant de témoigner que depuis 1991 jusqu’en 2018 le peuple malien attend son bonheur et ça tarde à venir. D’ajouter que cela est la raison que le peuple perd sa dignité et son honneur. Selon eux Aliou Diallo est la personne idéale pouvant rendre au Mali plus de bonheur dans la stabilité économique et alimentaire tout en assurant des emplois sûrs et rentables à la jeunesse et aux femmes. En fin ils ont affirmé la reconnaissance de l’ADP/Maliba à la famille chérifienne de Nioro pour son soutien incommensurable.
Selon Aliou Diallo, loin des discours de campagne le Mali et surtout sa jeunesse ont beaucoup peiné dans la précarité, l’injustice, la pauvreté, la famine, l’insécurité et l’inégalité et il est grand temps d’y mettre fin. D’ajouter c’est la principale raison de sa motivation pour la présidence du Mali après être plusieurs fois sollicité par des maliens vivants à l’extérieur. Il promet de réduire le chômage à travers la création de 1 200 000 emplois pour la jeunesse et les femmes du Mali. Cela permettra sans nul doute à réduire la pauvreté afin d’endiguer l’insécurité durablement.
Dognoume Diarra LE CONFIDENT