« La première difficulté que nous avons dans ce cercle de façon générale est alimentaire. Sécuriser notre alimentation on a compris que cela fait partie des premiers objectifs de l’ADRS. Nous avons constaté au fil du temps que tous les actes qu’ils ont posé vont dans le sens de la sécurité alimentaire. Au-delà des aménagements ils font des activités d’ordre social qui sont entrain de combler l’espoir. Dans ma commune, il y a le périmètre de Mahina, des périmètres à Bakoye et Dibatoumania. Si ces aménagements se terminent intégralement je dirais que la sécurité alimentaire de notre cercle est garantie. Je constate déjà avec beaucoup d’espoir la continuité des travaux d’aménagement de 680 hectares au périmètre G/H à Mahina en complément aux 200 hectares déjà aménagés. Ce qui me comble le plus c’est la considération des collectivités. Nous sommes invités dans tout ce que l’ADRS fait en amont et en aval. Si l’ADRS n’était pas venu il fallait la créer ».
Propos recueillis par Moïse Keïta LE SURSAUT